Violette et les Loups

Violette et les Loups   Contes et nouvelles de Christian Navarro-Ferret

 

     

 

CONTES ET NOUVELLES DU XIXème SIECLE

 

Les deux nouvelles de ce recueil pourraient être liées. Elles sont pourtant le reflet de deux mondes bien différents du XIXème siècle. D’un côté, Violette la pauvre paysanne rejetée par la société qui n’accepte pas la différence ; de l’autre l’artiste un peu dandy qui se prête aisément aux coutumes mondaines.

Si un lien existait entre-elles, on pourrait retenir que les mains – oui, les mains, celles qui nous servent à faire le bien, comme le mal – y tiennent un rôle essentiel.


     

 

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ISBN : 978 2 490058075

Format 15 x 21

Publication : Novembre 2018

 

12,00 €

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DISPONIBLE

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©  Illustration de la couverture

"Le Marché" - Camille Pissarro - 1882

Norton Simon Art Museum

Pasadena (Californie)

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      Christian_Navarro        

L'auteur et le sujet ;

...Si Christian Navarro-Ferret nous transporte, par la musique de ses mots, vers des cieux illuminés avec « Le vieux Violon », la nouvelle « Violette et les Loups » qui est la plus triste, la plus cruelle aussi, nous rappelle que "les loups ne sont pas toujours ceux qu'on croit !..."

 
     

Extrait de la nouvelle "Violette et les Loups" :

   "Non, elle n’était pas une sorcière ! Ce n’était pas vrai qu’elle se rendait sur la dune pour y rencontrer des créatures de l’enfer.

   Lorsque les étoiles commençaient à marquer le ciel d’Écaubourg de leur fine lumière, et que les fermes isolées s’éclairaient les unes après les autres, Violette, dans son extrême solitude, se promenait bien sur sur la dune, suivant, sous l’astre de la nuit, la sente blanchie qui menait à la mer.

   S’asseyant au bord de la falaise, elle réfléchissait à sa vie, à ses malheurs et, quand la journée avait été difficile, elle pleurait, pleurait… criait, hurlait, le visage caché dans ses mains, et le grand vent du large, complice, emportait sa tristesse dans un tourbillon silencieux.

   Les lapins étonnés s’approchaient si près pour la regarder de leurs grands yeux ronds qu’elle eût pu les toucher.

   Etait-ce là des créatures de l’enfer ? "

 

 

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